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Le Chemin vers l'Etre - Etat d'Être Etat d'Âme
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10 novembre 2009

Obésité et karma

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Peut-être que vous allez penser que je mets le karma à toutes les sauces (...) mais le fait est là, tout dépend de notre regard sur la vie et ceci est le mien.

Les infos d'hier matin pointent toutes sur le phénomène du développement de l'obésité en France. Pourtant depuis le temps qu'on en parle des régimes, de la diététique, des conseils en tout genre, et au lieu de diminuer, le problème s'étend.

C'est comme le stress, la souffrance au travail, on en parle on en parle, ça fait la une des journaux, ça fait marcher le commerce des magazines, pub, coaches, psys, syndicats, partis politiques en tout genre mais qu'est-ce qui change, en mieux, concrètement ?

Tous ces dysfonctionnements sont connus depuis tellement longtemps qu'on peut se demander s'ils ne nous sont pas nécessaires finalement ... si on n'est pas plus confortables dans l'incohérence que dans le bon sens et l'équilibre ...

Pour revenir à notre sujet du jour, j'ai remarqué que les personnes en surpoids étaient souvent très sensibles, émotives, et peut-être ces kilos qu'elles laissent s'installer dans leur enveloppe corporelle correspondent-ils à des poids d'émotions, d'énergies de karmas non identifiés et non réglés qui les alourdissent et les empêchent d'avancer librement.

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J'ai aussi vécu l'expérience du surpoids il y a quelques années à la suite de deux décès qui me touchaient de très près et de problèmes liés à l'un d'eux qui ont duré cinq ans. J'avais très vite "pris" six kilos. Vous allez dire que ce n'est rien à côté des personnes obèses qui peuvent avoir des dizaines de kilos en trop, c'est vrai, mais ce n'était pas moi avec ces six kilos qui alourdissaient mon (petit) mètre cinquante-sept (je suis retombée sur quelques photos et je confirme). Et ces kilos, rien à faire pour les perdre parce que je n'avais rien fait pour les prendre, seulement je n'avais pas pu à l'époque "travailler sur moi" pour me libérer du stress, des tensions liées à cette souffrance qui était en moi et dont je ne mesurais pas l'impact énergétique profond.

A l'époque je n'étais pas encore prête à me libérer des énergies liées aux mémoires qui me reliaient à ces personnes décédées même si je suivais depuis très longtemps déjà un chemin d'évolution conscient. Pour cela il fallait au préalable accepter de reconnaître mes émotions et mes sentiments pour pouvoir les apaiser (= régler les karmas) et me libérer des vieilles énergies transgénérationnelles (ou karmiques).

Et quand le moment est venu deux-trois ans plus tard, une "maladie" est survenue me clouant au lit pendant deux semaines sans aucune raison médicale et lorsque je me suis levée, les kilos étaient partis et surtout, ne sont pas revenus = nettoyage.

Cet exemple illustre partiellement le fait que ce n'est pas seulement l'alimentation qui est en cause quand on prend du poids. Evidemment si on fait peu d'exercice et qu'on mange toute la journée n'importe quoi, c'est normal.

Mais on peut aussi se dire : si je reste toute la journée sans objectif, si je n'ai pas l'énergie de faire les choses, ne serait-ce pas un état dépressif que je chercherais à masquer, à apaiser en me faisant du bien en mangeant alors que je sais que ça va me faire grossir. Mais après tout je m'en fiche. Je n'ai pas besoin de sortir, de plaire, tout le monde me regarde parce que je suis moche, en pensant que je n'ai pas de volonté, mais ça me regarde ... Mais est-ce que je ne me mens pas ? est-ce que je me sens vraiment cohérente avec mon être profond en pensant ça ? Pas vraiment sans doute car je sais les risques que je prends pour ma santé en laissant trop de place à mes faiblesses, mes fragilités, mes peurs.

Si je suis un peu lucide je peux culpabiliser et cette culpabilité va renforcer encore plus mon mal-être donc créer encore plus de tensions internes, de conflits intérieurs. L'énergie va circuler de façon de moins en moins fluide et je ne ferai que renforcer les karmas, ces énergies sensibles déjà installées et créant les dysfonctionnements en moi.

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Pour sortir de ce cercle infernal, c'est important de se faire aider. C'est plus facile quand on a un entourage affectif et social dynamisant, mais comme il y a énormément de personnes seules, la question n'est pas simple. C'est vrai que manger fait du bien, fait plaisir (voir deux messages plus bas concernant M.). Mais peut-on trouver du plaisir à long terme quand on fini par avoir la sensation de se remplir pour combler des manques et que l'estime de soi dégringole alors qu'elle n'était déjà pas bien haute (because mémoires anciennes)...

A chaque fois que nous allons aux Etats-Unis, je suis effarée. Effarée de voir la quantité et la "qualité" de nourriture servies systématiquement dans leurs "restaurants" et que tous avalent avec comme de l'avidité. Je me demande où ils mettent tout ça et à cette vitesse ! Mais aussi pourquoi la nourriture est-elle si chère dans les supermarchés là-bas où on voit que seules les personnes aisées sont en forme ... ça m'avait frappée de voir le contraste entre les Américains très "rustiques" et gros (il faut le dire) du South Dakota et ces propriétaires aisés de ranches du Wyoming (qui jouxte) qu'on imaginait bien passer un casting pour des séries de jeunes.

C'est grave car il y a là-bas énormément de personnes si obèses qu'elles ne se déplacent plus qu'en fauteuil électrique, en mangeant des cochonneries sucrées-salées, un panier étant prévu à cet effet à portée de main, pour entretenir le gras ... l'exercice physique n'existe plus du tout et la conso facile est facilitée, donc la dépendance. ça a quelque chose d'inhumain qui me désole.

(Cette année nous n'avons pas été poussés à aller Outre-Atlantique mais une amie en revient, désolée de constater que même à Manhattan il n'y a plus d'élégance ni dans la façon de se nourrir ni dans la rue. On est loin de Sex and the City !)

On en n'est pas encore là ici ! Mais comme on copie toujours le pire, plus facile ..........

Mais j'avais aussi remarqué une femme qui tenait une boutique de quilts superbes là-bas, dans le sud du Colorado, on dira "obèse" mais aussi pleine de sensibilité, de créativité et de bonté. Je pense que ces personnes en surpoids ont souvent ce "profil"-là ... Elle sont dans le trop. Je l'ai dit trop de peurs, de fragilité, d'émotivité, qu'elles ne savent pas gérer ou ont peur de voir. Mais parallèlement elles ne se rendent pas compte que ce trop pourrait se transformer en équilibre positif et créatif harmonieux, la balance penchant parfois dans ce trop de créativité et de sensibilité décollé du réel quotidien où l'enveloppement corporel constitue une merveilleuse protection pratique.

Par ailleurs, quand on avance sur un chemin d'évolution en conscience, on constate qu'il est nécessaire de passer par cette épreuve qui concerne l'image, donc l'égo et vous savez que notre travail sur nous impose que l'on s'en libère. C'est donc une phase qui fait alors partie de l'initiation.

Le libre-arbitre et le lâcher-prise sont les maîtres-mots de notre évolution.

Je pourrais continuer encore en parlant de notre façon de nous nourrir, du coût des aliments de qualité (abordé plus haut aux USA), de la nécessité de l'exercice physique, mais ce sont des arbres qui cachent la forêt. Le véritable problème se situe au fond de nous, dans notre inconscient tellement chargé de nos mémoires transgénérationnelles ou karmiques transmises depuis la nuit des temps, que malgré tous les efforts que l'on aurait la volonté  de réaliser, si on ne traite pas les causes profondes, les dysfonctionnements réapparaîtront d'une façon ou d'une autre. Pas gai me direz-vous ? Si Si au contraire, c'est nous qui avons les clés, en nous, et c'est pour ça que les théapeutes ont leur raison d'être.

Ao_t_octobre_2008_031

Et c'est pour cela que je propose le Rêve Eveillé lucide Papillon d'une simplicité biblique dans le respect total du libre-arbître de la personne, qui permet de se libérer des karmas limitants  créant trop de souffrance dans la vie de tous les jours.

 

Butterfly Evolution 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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