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Le Chemin vers l'Etre - Etat d'Être Etat d'Âme
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5 avril 2010

Vivre est un voyage (1): Préjugés et séparation ...

et règlements karmiques.

Ethiopie_G_rard_08_08_006 (Ethiopie)

Moi qui voyage pas mal et prétends tirer des leçons de ce que je vis à travers les rencontres, les situations, les lieux, dans des pays très différents énergétiquement de ce dont j’ai l’habitude au quotidien, moi qui prétends donc aussi être tolérante, ouverte sur les modes de vie et culturels des gens car je peux souvent les comprendre et leur  trouver des explications en situant ma réflexion sur le registre karmique, moi qui pense être assez évoluée sur le plan de la conscience universelle et avoir un niveau spirituel correct sinon au-dessus de la moyenne (je ne parle pas de niveau intellectuel, culturel, scientifique ou technique parce que là je suis au niveau des pâquerettes), moi qui me pense porteuse de toutes les énergies de la Terre comme l’est je pense  tout  être humain, moi qui justement grâce à cette croyance ne pense pas pouvoir être raciste, avoir de préjugés raciaux, eh bien après tous ces moi moi moi, je vais vous parler d’un moi dont je n’ai pas de quoi être fière … 

Vous vous souvenez peut-être de mes infinis déboires avec la hotline de mon fournisseur d’accès préféré (…) avec des interlocuteurs situés de l’autre côté de la Méditerranée qui m’ont littéralement fait sortir de mes gonds. Franchement on n’est pas dans le même monde, on n’a pas le même sens des priorités, ni des relations, ni des mots, surtout quand c’est un langage informatique que je parle très mal. C’est pas des préjugés ça ? et racistes en plus, alors que relisez ce que j’ai écrit qq lignes plus haut ! Bon, au bout de nombreux éclats de voix, je me suis calmement et fermement installée dans une position de cliente prête à faire aboutir cette discordance de la façon la plus harmonieuse possible. J’avais pris conscience de mes paroles qui avaient pu être blessantes pour des personnes différentes de moi (intéressant ça : on est tous différents les uns des autres, c’est pour ça qu’on ne se comprend pas toujours), me suis excusée, et immédiatement l’échange constructif a pu se réaliser et nous laisser contents de nous, mon dernier interlocuteur très posé, responsable, "intelligent" tout simplement, et moi.

Autre exemple du même acabit pas glorieux : 

Le jeune technicien missionnée pour me dépanner une énième fois m’appelle pour me prévenir de son arrivée. Il s’exprime parfaitement, très poli.  Et moi qui me dis : ce sera plus facile parce qu’il a l’air d’être français, il n’a aucun accent (ce qui voulait dire dans mon esprit, il est comme moi). Eh bien voilà, j’ai vu arriver un jeune homme très noir !... ça m’apprendra ! Très posé, consciencieux, bien éduqué, parfait quoi … le même que mes jeunes voisins noirs qui sont comme de ma famille, qu’il ne me vient pas à l’esprit de juger ! Le problème est que ce n'est pas de ceux-ci que l'on parle, et qu'en valorisant les autres, la minorité délinquante, medias et politiques renforcent leurs karmas négatifs respectifs. On n'est donc pas sortis de l'auberge socialement, humainement ... Vous avez vu, même moi, je me laisse contaminer par les énergies des égregores malsains qui nous environnent et par lesquels on peut être nourris malgré nous tellement ils sont puissants. On a intérêt à être vigilent, à rester centré, solide, et ça devient un travail sur soi permanent que de ne pas se laisser entraîner par le troupeau dominé par la peur.

Comme quoi merci à O-FT grâce à qui je règle plein de karmas. Voici comment je vois ces situations vues sous cet angle : 

Plusieurs messages plus haut j’avais dit avoir pu constater que mes karmas antillais devaient être réglés grâce à un monsieur originaire de ces îles et qui avait été adorable. Je devais en effet avoir des mémoires d’autres temps là-bas pas très jolies pour qu’ils m’en aient fait baver à plusieurs reprises dans cette vie-ci ! Et donc, puisque notre rencontre était on ne peut plus correcte, cela signifiait selon moi que mon nettoyage était fait. Super !

Avec le premier des deux exemples pas glorieux ci-dessus, c’est du même tonneau. Je devais avoir des contentieux anciens (des karmas) avec le sud du bassin méditerranéen - ce qui ne m’étonnerait pas car je passe (ou plutôt passais plus jeune) physiquement pour une fille de là-bas donc toujours été peinarde dans les pays du Maghreb, comme chez moi - mes altercations avec eux restés là-bas m’ont permis  régler mes karmas nord-africains  et comme nous avons abouti à une situation harmonieuse, le nettoyage de mes mémoires anciennes était fait ! (bizarre, comme par hasard j’ai une chère amie kabyle …) 

Et pour le deuxième exemple, c’est aussi la preuve, selon moi que j’ai aussi fini mon nettoyage de mémoires d’autres temps avec l’Afrique ! (et dire que ma petitounette chérie est une magnifique petite métisse ... cherchez l'erreur ...) 

Comme par hasard ici je suis très proche de ces gens originaires de ces pays ; et de tous les autres aussi… C’est une des richesses de la banlieue parisienne si on veut bien le voir avec ces yeux-là ! Et c’est grâce à eux, à tous les autres différents de nous, même notre sœur, notre fille, notre compagnon, notre voisin, collègue, ami, père, mère, etc … que nous progressons, que nous avançons vers nous, vers notre être profond, sans avoir besoin obligatoirement de partir loin même si un « vrai » voyage  peut s’avérer utile ou nécessaire. 

Et en jetant un œil rapide sur mon texte je me rends compte que, si vous me jugez, cela m'est égal. Mais je suis assez contente de voir que pour écrire ces exemples peu reluisants sans peur de ce jugement, il fallait que j'aie libéré une belle couche d'ego, donc encore avancé vers mon être profond, grâce à ces lignes ! 

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